Utilisation libre en citant les références. Certaines images proviennent d'autres sources citées en regard, les mentionner aussi. Ne pas faire de copies détruisant la mise en page en changeant la signification (déjà arrivé hélas). Le mieux est de donner le lien vers la partie concernée.
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La péniche, gestion du patrimoine fluvial

La péniche, gestion du patrimoine fluvial
Page 0 - préliminaire et sommaire
m à j : 22-11-20167 07:00
modification technique le : October 22 2017 11:59:51.

Ici on ne parle pas de mécanique théorique ni de résistance des matériaux mais d'une application très terre-à-terre, ou plutôt terre à eau, qui vous intéressera peut-être.

Ce site n'est pas fait pour être imprimé mais si ça vous amuse vous pouvez, à condition que ce soit pour votre usage exclusif.
Si vous désirez une (très) belle version papier, le Musée de la Batellerie de Conflans-Ste Honorine a publié fin 2015, un cahier sur le sujet. La rédaction, plus condensée quoi qu'avec des détails supplémentaires, en a été confiée au même auteur.


Numéro 74

Il est également possible de ce procurer cet ouvrage auprès de l'auteur :
Gérard Bianchi
6 rue des Moulins
79270 Frontenay-Rohan-Rohan
Joindre à la commande un chèque de :
20 € pour un envoi en France métropolitaine, frais de port inclus.
Pour les autres destinations, me contacter.

Si vous passez par là, c'est 15 € sans frais de port.



Traction mécanique depuis la berge
sur les voies navigables, en France et ailleurs

J'ai pas tout vu.
J'ai pas tout compris.
J'en ai oublié.
Voici le reste.
Il y a des choses dont je me souvenais et que je n'ai cru comprendre que bien après quand il était trop tard pour vérifier.
Depuis le temps que j'ai écrit ce qui précède le site s'est enrichi d'éléments trouvés au musée de la Batellerie de Conflans-Ste Honorine et d'encore plus d'autres communiquès par d'aimables internautes, j'ai pu reconstituer certaines choses.
Je n'ai pas voulu faire un exposé sur la traction fluviale, mais seulement fixer ce que j'en savais augmenté de que j'ai découvert. Au point où nous en sommes à la date de la dernière mise à jour, les apports ultérieurs sont bien plus importants, mais ce rassemblement de connaissances reste quand mème partiel. Au fur et à mesure des ajouts un certain désordre s'est installé dans le plan. Pour ma défense, il faut dire que le même document (particulièrement les photos) donne souvent des informations sur plusieurs points différents et comme il n'est, en général, montré qu'à une seule page, certains commentaires ne sont pas à leur meilleure place.
Il m'arrive de donner mon avis, il est partial.

"Méfiez-vous de ma partialité, des erreurs sur les faits que j'ai pu commettre, et de la déformation qu'entraine forcément le fait de n'avoir vu qu'un coin des évènements." (Georges Orwell, Hommage à la Catalogne)


Si vous savez des choses qui corrigent ou complètent, soyez sympa, dites le moi.
Si vous savez où trouver des documents (y compris des photos à faire) que vous croyez susceptibles de m'intéresser, soyez sympa, dites-le moi.
Vous pouvez aussi protester.

La liste des contributeurs m'envoyant des documents ou des informations s'allongeant lentement et j'espère sûrement, je tiens à les remercier de tout coeur. Leurs noms figurent avec leur accord aux emplacements concernés.
Bien entendu, les propos des pages ci-après n'engagent que moi.

Sur la page d'accueil du site, je me qualifie de maniaque du rail. Le terme a été choisi à dessein pour englober le chemin de fer au sens courant et la traction des bateaux sur voie ferrée.
En ce qui concerne la traction fluviale seule, je précise bien que je ne l'ai vue que du bord de l'eau, il va de soi que les descriptions des manoeuvres des bateaux interprétées au vu des photos anciennes, de situations que je n'ai pas vues, sont celles que je fais maintenant. Je ne cherche en aucun cas à raconter la vie des mariniers. Ils l'ont trés bien fait eux-même dans de nombreux ouvrages avec ou sans la collaboration d'historiens talentueux. Si je l'envisage c'est que mon esprit terre-à-terre ne peut se contenter de parler de ce que faisait le conducteur du tracteur sans se soucier de savoir à quoi ça servait à l'autre bout de la remorque. Ce faisant, des erreurs peut-être insupportables aux véritables connaisseurs de la batellerie, voire carrément des aneries, figurent dans le site. On m'a qualifé de fouineur, ça me va. Mais en fouinant, on trouve des perles et des scories. Il n'est pas toujours aisé de faire le tri du premier coup. Et puis, j'ai un gros défaut, je me demande toujours comment ça marche. Ici, ça se manifeste en cherchant dans les détails des documents. C'est ma façon (bonne ou mauvaise) de répondre aux multiples frustrations que j'ai éprouvé en lisant de beaux ouvrages, écrits par de bons historiens que la technique ne préoccupe que très peu, voire pas du tout.
Les corrections, seront faites au plus vite si des explications me permettent de comprendre comment rectifier et je remercie d'avance ceux qui les donneront.

Un point concernant une critique qui m'a été faite. Je ne traite pas des toueurs.
- Le sujet initial était "la traction mécanique dans les années 50". J'ai du ajouter "depuis la berge" pour préciser mes limites. (Par ailleurs j'ai largement débordé des années 50, j'ai supprimé le terme. Certaines incohérences pourront subsister quelques temps.)
- J'ai dit que je n'ai pas tout vu et cela en fait partie. Un seul toueur fonctionne encore aujourd'hui en France, pour combien de temps. Il y en avait encore deux il n'y a pas si longtemps. Je les évoque et l'un d'eux est mème en photo sur le site pour ce qui concerne ses rapports avec la traction sur rail.
- En commençant ce travail, je me suis dit que j'avais vu des choses bien oubliées aujourd'hui. Quelquefois très superficiellement rappelées ici ou là et que je pouvais apporter quelque chose. L'impression s'est confirmée par la suite. En ce qui concerne les toueurs, de nombreux ouvrages en parlent et je n'ai rien à dire de mieux. (Mème pas autant)


Merci à Guillaume pour les nombreux documents et pour ses relectures attentives et correctives.

Les pages suivantes contiennent une description, dans les conditions annoncées ci-dessus, du service de traction des bateaux de transport de marchandises depuis la berge des canaux navigables.
La conséquence de l'avis ci-dessus est qu'à la découverte d'une erreur, d'une approximation ou d'une nouvelle information, je corrige. C'est un avantage d'Internet sur la publication papier. Et si ça vous donne envie de venir prendre de mes nouvelles de temps en temps, ne vous gênez pas

Pour que les amateurs de chemins de fer comprennent l'aspect navigation et les amateurs de navigation l'aspect rail, le texte est prolixe. Ceux qui sont étrangers aux deux et seulement curieux apprécieront (peut-être). Quant à ceux qui sont initiés aux deux domaines, j'espère qu'ils liront quand même.

C'est là que tout commence

L'auteur
L'auteur, au début de son oeuvre, en plein travail d'observation, tablier boutonné dans le dos, sur le contre-halage du canal Latéral à la Marne, au dessus du syphon du canal Louis XII à Châlons-sur-Marne, en août 1947. La brouette, vigoureusement maniée, a participé à la reconstruction du pont voisin (contre-champ ci-dessous), détruit pendant la guerre.
Le pont de la rue du canal Louis XII avant Le pont en 2007
Le pont, en fonte, au début du XXème siècle, avant l'installation de la CGTVN. Le logis du manieur de brouette n'était pas encore construit à l'emplacement du grand peuplier de gauche
Le pont, en béton armé, en 2007. Il n'a pas été modifié depuis 60 ans. Photo Charles Berg
Toute trace de la CGTVN a disparu, mais pas le logis du brouettiste. (voir l'état 2009 en cliquant sur ma trombine en page accueil)

Plan des pages halage

  • Introduction
  • Les électriques sur rail
    • Voie
    • Alimentation électrique
  • Les diesels
  • Les électriques sur pneus
  • Exploitation
    • Troquage
    • Haut-le-pied de refoulement
    • Passage d'une écluse
  • Entretien du matériel et des voies
    • Entretien des tracteurs électriques sur rail
    • Entretien de la voie
  • Annexes

Un titre du plan ci-dessus (et du menu ci-contre) peut comporter plusieurs pages. L'accès se fait par le lien "page suivante" en bas de chacune.