Traversée de La Bassée. la voie passe au-dessus de l'entrée de deux entrée de bassins portuaires.

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màj 14-02-10

Passage inférieur entre deux passages supérieurs Photo précédente recadrée . La même en gris

CPSM Guillaume Kiffer

Vue du même endroit, de plus près, dans la même période. La photo est en gris, mais les cartes colorisées de l'époque ont l'inconvénient de diminuer la qualité des détails. La structure de la passerelle est mieux visible.

Vue aérienne d'ensemble

Vue aérienne de l'ensemble des lieux copiée sur géoportail. Les deux passerelles permettent à la voie de franchir les entrées des deux bassins. Des usines les utilisent tous deux, tant à l'époque des photos qu'aujourd'hui. Il est probable que les produits ne sont plus exactement les mêmes. La longueur du passage "spécial" est de 500 m. La voie de chemin de fer oblige à un point au plus bas entre les points au plus haut. Les niveaux ne sont pas connus, mais la différence entre le plus élevé et le plus bas est raisonnablement estimée à 4 ou 5 m.

Aujourd'hui les passerelles sont toujours là, en bon état apparent, et si leur rôle officiel est toujours la servitude de halage, elles sont dédiées à la promenade.

Détail montrant les dispositions temporaires

La passerelle déja vue sur les cartes postales, vue du dessus en 2009. Il était fort possible qu'elle était empruntée par d'autres usagers que la CGTVN, mais pas simultanément et probablement pas règlementairement. Le pont visible au fond est reconstruit sur la culée visible sur la carte postale colorisée.
(Cliquez sur la photo et les suivantes, pour en savoir plus sur leurs origines)

Détail montrant les dispositions temporaires

Le passage sous le pont SNCF avec les piles de la passerelle prédédente. L'effet "de trou" est accentué par le recadrage fait par mes soins.

Détail montrant les dispositions temporaires

Et pour finir, la seconde passerelle, vue avec le pont SNCF dans le dos.

Il est certain que par temps humide, certains tracteurs devaient avoir tendance à s'essuyer les pieds en montant les côtes tout en tirant un bateau à vitesse normale. Il suffisait de ralentir en laissant le tirage mollir pour être en situation haut-le-pied, et ce n'était pas pour longtemps, une centaine de mètres au plus.